Django Django sort son troisième album: « Marble skies ». Inégal, le charme des excellents deux premiers agit par intermittence. Quelques chansons agitent nos jarrets de façon irrésistible d’autres nous laissent de marbre tant on sent que ce groupe a la formule magique cachée dans son slip. Vivement le prochain qui s’il allie toutes les qualités déjà entrevues leur permettra de toucher le jackpot tant critique que public.
Bien sur, faut aimer les zigouigouis, tchac pouf mou, et nanana.
De la musique populaire qui ne prend pas son auditeur pour une truffe. Les bons morceaux sont imparables les autres oubliables. On me dit: chevauchée sauvage et débridée où tout est permis, comme un voyage dans le temps sans transition, du krautrock à la dream pop en passant par le dancehall ou l’electro-pop des années 80…
Donc on ressort son bob celui de Mani, on met des snikers confortables, jean baggie, hop hop hop back to ze dance floor. Ne jamais mépriser la musique qui fout la pêche.
Je vous laisse y’a la saison 2 de Baron noir qui m’appelle cette série est en train de me scotcher. Putain la politique française en action et surtout pourquoi le parti socialiste disparait sous nos yeux: en se regardant le nombril au lieu de s’occuper de celui des français. Le débat insiders/outsiders, vieux monde/ nouveau monde et bien sur surtout qu’est ce que c’est que d’être de gauche. Putain de bonne question.
Le nouveau monde macronnien nous explique que la lutte contre les inégalités/injustices n’est pas la question. Baron noir dit que ce n’est pas aussi simple. Et je pense qu’il faut avant tout vouloir les choses pour quelles aient lieu.
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